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27/03/2010

Le printemps des Regraga

Le printemps des Regraga 2010

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Talmest(le patron de la rivière verte) troisième étape

Reportage photogrphique d'Abdelkader Mana

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Dimanche 21 mars 2010

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12:28 Écrit par elhajthami dans Reportage photographique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : photographie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Printemps 2010

Le printemps des Regraga

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La première étape du pèlerinage circulaire en images

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Reportage photographique d'Abdelkader Mana

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Le vendredi 19 mars 2010, arrivée à Sidi Ali Bou Ali, la clé du pèriple

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Le genêt, plante sacrée, grâce à laquelle les Regraga flagellent les pèlerins pour leur transmettre les énergies vitales du printemps naissant.
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La quête de l'eau , source de toute vie
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De partout affluent les pèlerins vers la clé du pèriple, particulèrement d'Essaouira, de Safi et de Casablanca
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A l'enceinte - même du sanctuaire, sous l'arganier sacré, les Regraga sont en train de bénir les pèlerins et surtout les pèlerines
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Pèlerin - tourneur du printemps, depuis de si nombreuses années, originaire de Sidi Ali Korati, guérisseur du vitiligo et seconde étape du pèriple, Korati Lahbib est la première vieille connaissance qui m'accueille sous l'arganier sacré
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Tandisque les Regraga bénissent les pèlerines en mettant leurs offrandes monétaire dans le tronc, une Casablancaise se rend compte de la prise des images et s'empresse illico de se couvrir le visage: toujours cette sampetirnelle prohibition de l'image...
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Le tronc dans lequel ces anciens moines-guerriers , qui se nourissaient d'eau et de semoule en guerroyant le jour et priant la nuit; mettent le nerf de la guerre d'aujourd'hui : l'argent, redistribué plus tard aux ayants droit (les descendants des sept saints) à la clôture du Daour, au sommet de la montagne de fer, où résidait leur sultan légendaire au 12ème, 13ème siècle
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Dans ce pèlerinage qu'on peut assimiler à un rite de rogation, le porteur d'eau est toujours de la partie
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Avec les marchands de jouets, le Daour prend toujours des allures de fête foraine: la plus importante fête annuelle pour les enfants au pays Chiadma
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Deux pèlerins - tourneurs qui passent chaque printemps leur temps à flageler les pèlerins en recueillant leurs ziara, me repèrent et me reconnaissent...
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Sous des tentes en toiles sommaires ("Guitoune"), séparés du sol pierreux par de simples nattes de jonc, les pèlerins se restaurent et prennent le thé.
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Marchand de pipes de kif : l'adjuvant rituel traditionnellement omniprésent à tous les rituels de la transe et de l'extas, aussi bien chez les Gnaoua que chez les Hamadcha, où on m'a parlé un jour de "tombour de kif"...
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"Haloua" ; gateau "dur" traditionnelle des Regraga à base de sucre de coloranrts et de fruits secs : le "sucré" comme le "salé" - nous somme ici à la saline "Lalla Chafia" la guérisseuse -, sont considérés comme dotés de grâce bénéfique: "suré", "salé"; avis au regretté Claud Lévis Strauss qui nous a quitté récemment plus que centenaire...
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A chaque étape du Daour, un haut parleur ne cesse d'annoncer l'arrivée du "toueur d'oreil": en effet, c'est au cours de ce rite initiatique que les jeunes filles trouent leurs oreilles pour la première fois et vont aussitôt chez le marchand de faux bijoux d'argent et d'or pour acheter leurs premières boucles d'oreilles...
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A l'écart de l'allée commerçante, entre sanctuaire et saline sacrée, le parc forain....
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11:10 Écrit par elhajthami dans Reportage photographique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : photographie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

03/03/2010

L'oued Ksob

Jour de pluie à l'embouchure de l'oued ksob

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Le mercredi 3 mars 2010

Reportage photographique d'Abdelkader Mana

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6h.Je quitte très tôt la ville alors qu'il fait encore sombre. La ville est entièrement inondée par les pluies déluviennes d'hier soir. J'ai du faire un long détour pour éviter les vastes marres qui relient maintenant le front de mer à l'ancienne lagune : entourant la ville de toute part, les eaux transforment la ville en un véritable îlot, ce qu'elle fut d'ailleurs à l'origine. J'ai du donc faire un long détour pour rejoindre la baie : le fameux « taghart » de notre enfance est entièrement jonché de branchages rejetés par la mer la nuit précédente. Entre de lourds nuages, la lune me fait signe. La rivière doit être en crue. Je dois y aller pour prendre quelques images au levé du jour.

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Au niveau de l'embouchure de l'oued ksob, une très violente pluie me fouette au visage. Les fines gouttelettes d'eau me font l'effet d'une tempête de sable. Un vent violent les porte d'Ouest en Est semble les arracher de la surface de la rivière en crue. Je me réfugie au milieu des dunes recouvertes de genêts : impossible de rejoindre en ligne droite le pont de Diabet qui semble pourtant si proche à vol d'oiseau. : de étangs emplissent la cuvettes, noyant le champs de genêts et de joncs noircis, brûlés, desséchés par le soleil brûlant de la saison d'été précédente. Du nouveau pont de Diabet ; je découvre une image incroyable de l'île vue de l'embouchure.

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Le Ksob coule au pied du vieux village de Diabet sous la pluie
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Branchages charriés par l'oued en direction de la mer
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Le soir de cette même journée de 3 mars 2010, je prends ces deux dernères images du coeur de la ville:
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Reportage photographique réalisé
par Abdelkader Mana; le mercredi 3 mars 2010

20:18 Écrit par elhajthami dans Reportage photographique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook